~Chapitre 2~
Acte 5 { L’Aveu }
Dans une nuit de pleine lune, je suis parti a la chasse pour rapporter quelque chose a manger, pendant se temps, mon chef, qui c’était beaucoup attaché de plus en plus a moi durant notre cohabitation, se demanda, comment m’avouer ces sentiments. Il n’eut pas le temps d’y penser trop car je suis revenue avec un cadavre de loup que j’avais écorché. J’étais en tain de dépecer l’animal avec une telle force que le sang frais du loup giclait partout sur mon corps, mon chef était subjuguer par cet étrange spectacle.
Après avoir fini ma besogne, je demanda à mon chef : Voilà, il est a cuir, si tu le désir ainsi.
Il répondit : Je vais en faire cuire une partie et le reste on le mettra de coter.
Je lui répondis : oui maître.
Ceph répondais : Maître!? S’il te plait Viben, je ne suis plus maître de cette ville et surtout pas de toi, tu es si.. Magnifique..
Je répliquai : Magnifique? ( Restant froide ), je suis aveugle et je ne peut ressentir une émotion et encore moins une sensation.
C’est à se moment là, qu’il s’approcha de moi et me dis : Je t’aime Viben, de toute mon âme. Il commença âme caresser sans pour autant que je ressente quelconques sensations. Après un moment, il se mis à lécher le sang sur mon corps jusqu’au moment ou il m’embrassa. Certes je lui ai rendu, mais rien, aucune palpitation, aucune joie, aucune tristesse, juste moi et mon corps. En voyant que je ne réagissais pas a c’est avance, il arrêta.
Je lui dis : Je suis navré maître, mais je vous avais prévenue..
En me coupant la parole, il dit : Je ne t’en veux pas, mais au moins, peut tu m’appeler par mon nom? Sa serais déjà un début, je m’appelle Ceph.
Je répondis : Je respecterais votre volonté.
Me voyant agir comme un pantin devant lui et dans un champ de bataille, il décida de recontacter une magicienne assez puissante pour récupérer l’âme de sa bien aimé, moi, quelle preuve d’amour..
Acte 6 { Le Grand Voyage }
Dès le lendemain, nous sommes partis de notre royaume pour trouver le premier contacte pouvant nous aider à trouver la sorcière. Il était très étrange pour nous, elfe noire de se promener le jour de la sorte. Nous devions nous rendre au royaume de Gludio pour trouver notre premier contact pour nous indiquer le point suivant. Mon compagnon marchait avec une telle volonté que rien ne pouvait l’arrêter, je suis sur que si il y aurait eu une montagne en nous et Gludio, il l’aurait pulvériser! Je ne pouvais discerner tous ces traits mais, la forme que me montrait ma tête était certes, un jeune homme mais il devait avoir entre 25 et 30 ans. Élancées, les cheveux touchant les épaules qui flottaient dans le vent, son gigantesque épée pendait à sa ceinture. Le troisième jour, nous sommes arriver en territoire eflique. C’est à ce moment la que Ceph aperçu un groupe étrange d’efle. Il y avait cinq hommes et une femme. Il n’y avait que haine et terreur dans l’air. Dès qu’il me dit qu’il y en avait cinq, je m’élança comme une tigresse chassant les loups. Je surgis de nul part en terrassant les deux premiers elfes, par la suite, j’ai décoché mes dagues sur le troisième et je bondis sur le l’avant dernier pour le mordre et lui arracher le cœur avec mes mains. Mais le dernier se retourna de justesse et me transperça de sa lame. Mon sang coula a flot sur ma peau sans pour autant ressentir le mal mais j’ai perçu la frayeur du pauvre elfe me voyant ainsi et d’un seul geste je lui arracha son cœur d’impure dans une marré de sang.
Acte 7 { De L’Expansion }
Quand Ceph arriva enfin j’étais debout couverte de sang, retirant l’épée en moi, devant la jeune femme elfe.
- Terrifier, la jeune elfe dit : Pitié! Ne me tuer pas! Je n’étais pas avec ses hommes, ils mon exilé de notre citer car je n’approuve plus notre culte et nos allier.
-Ceph intervena : Elle dit vrai, Viben. Regarde, elle a l’a maque de l’exiler.
Il s’avança vers la petite elfe qui devait avoir a peine 19 ans.
- Ceph lui dit : Tu à deux choix, petite, sois mourir ici ou s’aidé dans ma quête.
- La jeune elfe répondis : Je ne veux certes pas mourir mais, quel est votre quête?
- Ceph répliqua : Tu la vois? Elle s’appelle Viben, rien ni personne ne pourra l’empêcher de te tuer toi ou n’importe quel autre elfe ou humain. Ma quête consiste à retrouver une magicienne pour m’aidé à retrouver l’âme de Viben, elle est tout pour moi. Si tu accepte, tu n’auras qu’a être c’est yeux et a la suivre partout et surtout, l’empêcher de tuer encore plus d’humain et d’elfe. Car, plus elle tue, plus elle meurt.
- La petite répondit : Quelle preuve d’amour ! Étrange pour un elfe noir.. Mais je peu ressentir le mal que tu à vécus. Je suis Mysteken, apprenti magicienne, je vous servirais jusqu’à l’accomplissement de votre quête.
- Ceph : Très bien, sur se, mettons-nous en route.
Je ne peut d’écrire tout le voyage mais, je sais que Ceph, était de plus en plus sur de pouvoir me « sauver ». Jusqu’au moment où, nous arrivâmes sur le territoire neutre. Ils y avaient quelques maisons et quelques fermes mais dès que j’ai ressentit la présence d’humain je ne puis m’empêcher de m’élancer à leur poursuite. Je courais avec une telle rapidité que Ceph et Mysteken n’eu jamais le temps de me rattraper. J’étais qu’à quelques mètres dès premiers humains quand, tout à coups je fus enfermer dans une bulle magique. Mes cris de rage répercutaient partout dans la plaine suivit de mes coups de lame sur la parois magique. Les humains furent en état de choc en me voyant de la sorte car, ils n’étaient que de simple paysan. Ceph et Mysteken arriva à toute allure à mes côté. Mysteken essaya d’expliquer aux paysans ma situation mais leur seul reflex à été de s’attaquer à elle et à Ceph. Dès les premiers chocs de lame retentis, une étrange force crispa mon corps et avec une puissante attaque, je détruis ma prison magique pour ensuite me jeter dans la mêlée. Ils y avaient neuf paysans dont trois avec des arcs et des flèches artisanales. Les autres étaient armés de petite épée et de lance. Dès que j’ai touché le sol, deux flèches se logea dans ma poitrine me faisant reculer d’un pas. Voyant que je ne ressentais rien, les archers multipliaient leurs tirs sur moi. Bien que je ne ressente la douleur, mon corps lui, n’est pas indestructible. Trois autres flèches se logea à nouveau dans mon corps me m’étant cette fois, à genou, ensanglanter, mais, encore prête à se battre. J’ai donc pris mes deux dagues que je lança sur deux archers porteurs d’une âme impure, qui se sont, sur le coup, étain. Les paysans, effrayé par ma capacité a ne pas mourir, s’enfuient avec maladresse en trébuchant partout. Ceph. Se précipita à genou vers moi, me soutenant le dos, pendant que l’elfe dégagea les cinq flèches. Bientôt, tout le monde était recouvert de mon sang. Ma peau était blanche comme la lune, les yeux vitreux fixant le vide et mon corps mou, comme les feuille d’un arbre. Mysteken referma mes plait, ensuite, Ceph me prit dans ces bras et poursuivit à toute hâte vers la citer de Gludio. Il me transporta pendant deux jours, sans se plaindre, s’arrêtant que pour boire, manger et « dormir ».
-Arriver à Gludio, les garde s’approcha avec prudence et dit à Ceph : Qu’est-ce que vous avez encore fait sale elfe noir??
-Ceph leur répond : Nous avons été attaqués par neuf paysans armer.
-La garde : Je n’en crois rien! Vous ne pouvez rester ici plus longtemps, cotre sang nous lève le cœur.
- Ceph : Indiquer moi un endroit ou je pourrais la soigner convenablement, elle est tout se qu’il me reste au monde! ( Les yeux remplient de larmes ).
Le garde, sentant ses émotions, lui indiqua une petite auberge ou ils pourraient s’occuper de moi.
Acte 8 { Garder Espoir }
Ceph resta à mon chevet accompagné de Mysteken durant cinq jour. Voyant que je ne reprenais pas des couleurs et que mon cœur battait régulièrement, il décida de me laisser au soin de l’elfe pendant qu’il chercherait notre premier contact, peut-être pourrait il l’aider. Il se dirigea donc vers le repaire des elfes noirs et fut heureux de la voir assise à une table.
- Ceph : Ah! Je suis si content de te revoir! Sa fait si longtemps!
-Elle répondit : Je ne croyais plus que tu viendrais, cela fait des lunes que je t’attends!
- Ceph répliqua : Je suis désoler mais nous avons rencontré quelques problèmes.
- Elle reprit : Des problèmes..
- Ceph lui expliqua : Dans la missive que je t’ai écrite avant mon départ, et bien, c’est devenu de plus en plus pire. Chaque fois quelle voit un elfe ou un humain, elle l’attaque. Donc le problème est la, elle a attaqué neuf paysans armer et elle a reçu cinq flèche dans le corps.
- Elle s’écria : Cinq flèches! Et elle n’est pas morte?!?
- Ceph : Du calme Joséphinne, Viben n’est plus un être vivant sans son âme, donc elle ne peut mourir. Mais elle ne peut vivre non plus.
Sidéré, elle mi-fin à la discutions en voulant me voir. Ils quittèrent la taverne des elfes noirs, partant à l’auberge ou Mysteken s’occupaient de moi. Dès qu’ils arrivèrent dans la chambre, j’avais repris des couleurs mais j’étais toujours inconsciente. Joséphinne renseigna Ceph que la grande sorcière vivait à Giran. Ceph ne savant pas trop quoi faire, opta pour le voyage sans tarder et il me reprit dans ces bras musclés. Notre groupe, maintenant de quatre membres, allait bientôt rencontrer son cinquième. Nous traversâmes les terres désolées ou plusieurs bataille ce son livré et des exécutions terminer, et c’est alors, que je me suis mis à remuer dans les bras de Ceph.
- Il me dit : Bonjour très cher, heureux de vous revoir parmis nous.
- Je lui dis : Où sommes-nous? ( Tout en essayant de m’orienter )
- Ceph : Nous allons à Giran, pour trouver la sorcière. Te sens tu capable de marcher?
- Je répondis : Je crois qu’oui
Il me déposait à terre et je réussis à marcher. Je marchais devant Mysteken mais, Josephinne et Ceph de chaque côté de moi. Nous avons atteint la gigantesque citée de Giran à la fin de la soirée de notre troisième jour de marche.
Acte 9 { La Rencontre }
Dès que nous entrâmes dans Giran, nous fûmes accueillis comme des personnes normales. Josephinne nous indiqua que l’oracle, se trouvait à la taverne humaine. Nous entrâmes donc, dans le bâtiment et nous la vîmes, entourer de gens dans un coin, en écoutant son récit. Ceph brisa la magie du conte en criant son nom. Tous les regards se portèrent alors, sur nous. Avant qu’il ne s’élance vers son but, une jeune femme bien étrange lui dit :
- De quel droit entrer vous ainsi pour faire taire toute la magie que cette femme nous apportait!
Puis une autre femme lui prit les épaules et la calma. Crystale se leva et nous invita dans sa chambre pour discuter. En s’y rendant, je perçu le regard de la femme étrange qui nous figea toutes les deux. La jeune femme qui l’avait calmé plutôt, ne parvient pas à briser nos liens. Crystale ayant remarqué ce spectacle, se trouva fort intéresser par les jeunes femmes. Toutes les deux, sont « morte » et on perdu leurs âmes. Seulement, pas de la même façon. La jeune femme cria désespérément son nom pour la ramener à la réalité; Sylvanas! Sylvanas!! La pièce fut bientôt baigner dans une lueur rouge feue, grâce au yeux scintillant de Sylvanas. Crystale ne mis qu’un objet entre nous et bloquant ainsi, la vision de l’une et l’autre. Ce qui a eu pour effet de stopper la fixation. Sans plus de temps à perdre, Crystale dit qu’il faut aller au monastère de Giran, trouver des reliques sacrer, nécessaires à son incantation. Même fatiguer, nous décidâmes de s’y rendre cette nuit. C’est à ce moment que Sylvanas nous demanda si elle pouvait nous venir avec nous, car, elle aussi, avait le même problème. Crystale accepta, puis nous partîmes. Nous étions maintenant rendus sept.
Nous arrivâmes devant le monastère avant que la citer ne se réveille et ainsi, procéder calmement. Sans plus de façons, Ceph détruit entièrement la porte du monastère et entra, mettant fin à une prière. Il n’y avait qu’une personne, se tenant devant l’autel. Crystale reconnu cette jeune elfe, c’était Daestiny. Elle se leva, épée à la main, puis, se retourna. Ceph agrippa ces épées et fonça sur elle, qui, ne bougeais point. D’un seul geste, Ceph fut atteint droit au cœur et mourra sur le coup. Malgré toute la puissance de Crystale, elle ne pouvait agir dans un lieu sacrer. J’étais donc, la seul à pouvoir la combattre. Je leur ai donc ordonner de m’attendre à l’ouest de la ville. Une fois parties, il n’y avait plus qu’elle et moi, une contre une. Même si Ceph venait de perdre la vie et de se fait, cette aventure n’avait plus de but, je devais la combattre, où du moins prendre les icônes sacrer. Pourtant aveugle, je fixais ma proie, telle que mes yeux défaillants, réagissait à tout c’est mouvement. Après une période de concentration, nous nous élançâmes en même temps. Telle des fauves, notre férocité n’avait d’égale, le premier contact créa des lors, une multitude de flammèche multicolore. L’écho des entrechocs des lames résonnait de plus en plus dans ce lieu saint, jusqu’à temps ou elle ma presque couper la gorge. L’éraflure qu’elle me fit, me résonna à voler les reliques et à fuir ce lieu. C’est exactement ce que je fis. Quelques mouvements acrobatiques et me voila hors de porter de sa lame, libres de voler ce temple. Une fois prit, Daestiny bloqua la sorti. J’opta donc pour.. La fenêtre, du moins, ce qui lui ressemblaient fortement. Je pris mon élan et me projeta directement dans le vitrail qui donnaient sur le marcher. J’atterris parmis la foule qui commençais à entreprendre leur journée, puis, m’enfuit vers mon point de ralliement. Laissant Daestiny, derrière, avec la certitude de la recroiser un jour.
Une fois les icônes remis à Crystale, nous partîmes dans un endroit calme pour faire le point. J’aurais du être perturber mais non, la personne pour qui, nous en sommes rendus la, n’est plus, Devrions nous continuer ou arrêter? Pour y réfléchir nous arrêtâmes dans une forêt non loin du royaume d’Oren. Josephinne alluma un feu et tout le monde étaient là, assis et muets. La nuit s’installa et tout le groupe s’assoupi dans le doute. Je me réveilli durant la nuit incapable de me rendormir. Je me suis donc aventurer hors du camp. J’ai marché quelque minute et j’abouti devant un étant d’eau qui réfléchissait la lueur de la lune mystérieuse. Je me suis donc dévêtit et entra dans l’eau, sans savoir si elle était bonne ou non. Je réussis à calmer mon esprit, quand un bruit me sorti de mon nid. Je nageais vers le bord de l’eau pour en sortir et reprendre mes armes quand, une fois arriver, deux yeux violets me fixais de haut. Sous son regard, je tendis la main droite vers une de mes dagues, quand, la créature enfonça ses griffes dans mon avant bras. Cette soudaine assaut, ne ma pas mis en colère, m’est plutôt m’anesthésia. Je contrôlais de moins en moins mon corps, mon esprit embrouiller essayais pourtant de comprendre. La créature me sortis de l’eau et je pus constater que c’était une femelle. De ma grandeur, elle m’accota à un arbre et sans plus de réserve, elle s’approcha et me mordis le cou, commençant à boire mon sang. Paralysée, j’étais une poupée. Lorsqu’elle eux finie, elle s’entailla son propre poignet, m’ouvrit la bouche et l’émergea de son sang bleu. Lorsqu’elle en eut fini avec moi, mon cœur commença à battre irrégulièrement, jusqu’à temps où il s’arrêta. Je resta éveiller un moment avant de sombré dans l’inconscience mais, je ressentais de la douleur.. À la tête. La douleur si intense que mon corps se crispa tellement qu’il réussit à repartir mon cœur et après, le noir m’enveloppa.