Franel [X]

Le ciel nocturne était clair et dégagé au-dessus des montagnes. Les étoiles brillait commes des diamants sur de la martre. C'était une nuit de fin d'hiver d'une beauté froide et terrible. La neige pesait lourd sur les branches des pins et des cèdres. Ici, il n'y avait aucune couleur, aucune sensation de vie. La terre était silencieuse, à l'exception du craquement occasionnel d'une branche surchargée ou du doux murmure de la neige lorsque le rude vent du nord la déplaçait.

Un cavalier encapuchonné, sur un cheval noir, émergea des frondaisons. Sa monture progressait lentement dans la neige épaisse. Courbé sur sa selle, il continuait d'avancer, tête baissée contre le vent. Ses mains gantées s'accrochaient au manteau gris recouvert de flocons qu'il tenait fermement serré autour de son cou. Arrivé à découvert, le vent furieux, qui se mit à hurler autour de lui, parut le prendre comme cible. Imperturbable, il poussa son cheval à poursuivre sa route. Une chouette blanche s'élança du haut sommet d'un arbre et passa en planant au-dessus du cheval et de son cavalier. Un rat maigre fila dans la neige au clair de lune et fit une embardée lorsque les serres de la chouette lui touchèrent le dos. Cette embardée lui mit presque hors de danger.

Presque
Dans ce lieu sinistre et glacé, un presque revenait à un arrêt de mort. Ici, tout était noir et blanc, net et clairement défini, sans aucune délicate nuance de gris. Des contrastes sévères. Le succès ou l'échec, la vie ou la mort. Pas de deuxième chance, pas d'excuse.

Comme la chouette s'envolait au loin, avec sa proie, le cavalier leva les yeux. Dans un monde sans couleur, ses yeux bleus et brillants luisaient d'un gris argenté dans un visage noir comme l'ébène.

Noir comme sa vie, noir comme ses péripécies. Le cavalier se rémémora la nuit qui précédent son départ de son village natal, parmis ses frère de la famille des elfes noirs. Il revit avec tristesse l'attaque des gobelins et des trolls qui détruisait tout sur leurs passages, les mages du villages en tuait par centaine, mais ils revennaient toujours plus nombreux, toujours plus fort. Dès qu'il vit le carnage, il se précipita dans sa maison et cria paniqué:



Elle était douce, combattante, belle et rusée ses formes étaient misent en valeur dans sa tennue de combat de noir en cuir et en daim. Elle courut dans les escaliers et sortit de sa poche arriere deux batons de mâge. Elle lui dit d'une voix douce et mélodieuse :

<< Mon frère, mère nous avait prévenu que ce jour arriverait, elle l'avait vu dans les augures, elle nous a laissé ces deux bâtons afin de mieux contrôler notre magie. J'ai préparé nos chevaux la veille. Nous ne devons pas perdre de temps, nous devons rejoindre un humain, un humain nommé Vaan, mère avait lu que cet humain jouerait un enjeux décisif a nos côtés et ensemble, nous arrêterons ces guerres perpetuelles et incensées.>>

Ils sortirent de l'écurie ensemble, à l'abris des maisons, les cries et le son des épées retentirent, l'intensité du combat se fit sentir. Mais arrivé a un croisé dont l'allé principale menait a la sortit du village, une dizaine de gobelins les chargèrent. Les deux cavaliers levèrent leurs bâtons et inquentèrent une formule dont la langue divergeaient du dialect commun, le son de leurs voix se fit de plus en plus fort, puis s'arrêtèrent net. Des éclairs jaillirent bâtons et transperça les gobelins. Les cavaliers partirent au galop en direction de la porte principale. Mais un crie aigus d'une femme retentit, le crie provenait de la caserne.

La soeur s'exclama: << Vas-y Franel ! Sauve la, nous nous retrouverons chez l'humain. >>
<< A tes ordres Desir .>>

Desir continuait sa chevauché, alors que Franel galopait à vive allure en direction de la caserne. Les portes étaient défoncer, des cadavres gisaient à terre. Franel descendit de son cheval et courut a grande enjambé dans le hall de la caserne, le crie rententi a nouveau mais avec plus d'intensité. Franel courut dans cette direction et arriva dans l'armurerie, deux trolls détruisaient tout, des gardes décapités jomchaient le sol endui de sang. Une femme en armure se fit projeter contre un mur par le plus grand des trolls. Franel inquanta une nouvelle formule, dès que celle ci fut arrêté, les deux trolls explosairent en meme temps sans un bruit. Franel se précipita alors en direction de la femme qui était allongé sur le sol, du sang coulait a grand bouillon de sa poitrine, il lui enleva son haume qui était fendu de moitié. Elle lui dit péniblement:

<< Merci Franel, mon âme peut ainsi rejoindre Elune sans crainte du danger Mer...>>

Franel prit la morte sur son dos et la porta jusque dans le hall pour la déposé sur la table principale. Il recula pas à pas toujours en fixant le cadavre. Il dépassa la porte de la caserne, il se retourna d'une traite et enfourcha son étalon. Il galopa ainsi vers la porte du village, puis a travers les pays, chevauchant nuit et jour, dans la dureté du monde jusqu'a arrivé dans ce bois.

Le cavalier continuait sa chevauchée a travers le bois, avec un regard dur. Mais continuait de chevauché péniblement dans la neige, là où la vie et la mort se mêlent. Son but était de retrouver Desir et Vaan, il le ferait même si la mort l'attendait.

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