Il y a bien longtemps, en un lieu dont tout souvenir a été oublié, nommé Neo Vérone qui fut un continent majestueux. Ce grand patrimoine faisait perdurer la vie et la prospérité de ses citoyens. Or, l’inconscience de l’amour passionnel outrepasse parfois toutes les limites.
L’histoire contée à présent relate d’un amour immortel cruellement manipulé par le destin au beau milieu d’une guerre entre le bien et le mal.
Sous un chêne millénaire, deux jeune êtres, un homme et une femme, un renégat et une princesse, Roméo et Juliette, se promette un amour plus fort que tout, ils ne s’étaient vu qu’une seule fois, un seul regard et un immense flux charnel entre leurs âmes produisit la foudre pour disparaître dans le ciel pourtant bleu et ensoleillé. Leurs paroles étaient pures et véritables.
Roméo : Dans les profondeurs trouble de mes yeux est gravé ta silhouette, jusqu’où ce monde nous entraînera t-il ? *sert Juliette entre ses bras* Alors que nous parlons durant ces jours passés, la guerre fait rage entre nos deux peuple… *lui caresse les cheveux*.
Désormais, même lors des nuits très orageuses, même lorsque je ne te vois plus, je me bats pour te rejoindre *lui attrape les épaules et la regarde dans les yeux*.
Juliette : Mon amour, nos lèvres sont si proches, mon cœur s’emballe. Peu importe qui tu es, peu importe où, je t’accepterais, même si je suis blessée et que je pleure. Même si je dois me dresser contre le monde entier, je te t attendrais *l’embrasse longuement*.
La princesse Juliette retourna alors en amazone sur son cheval vers le palais de Neo Vérone tandis que Roméo poursuivit son chemin vers l’ennemi, les Renégats des terres inconnues, sa patrie.
Roméo : Juliette *la regarde partir au loin* Ton baiser est encore sur mes lèvres *passe délicatement ses doigts sur ses lèvres*. O, vent soufflant sur les océans, porte ces nouvelles : « J’aime Juliette plus que ma propre vie, puisse notre amour survivre aux malheurs, que ces prières dépasses l’éternité et nous donne un avenir ».
De retour chez elle, avec hâte elle se glissa dans sa chambre les pensées pleines de joies persuadée que jamais rien ne les séparera, pourtant dans la nuit brumeuse, sur la plaine surplombant Neo Vérone, Les Renégat étaient prêt à attaquer.
Dans la foule, Roméo tenta de rejoindre son père, le chef de la garde impériale, une fois devant la porte de sa tente, il perçut la conversation de celui-ci.
Père de Roméo : Le moment est arrivé, Mon roi *se prosterne devant la personne tapis dans l’ombre*
Roi Noir : Bien *ricanement*, ton fils Roméo est un jeune et brave guerrier, j’aimerais qu’il fasse quelque chose pour moi. Peut-on lui faire confiance ? *se caresse la barbichette*
Père de Roméo : Certainement mon seigneur *se met au garde à vous* Je suis tout ouïe !
Roi Noir : Vois-tu, mon cher Marcus, il y a sur ce continent un roi de trop, et j’aimerais que ton fils aille le tuer, lui et toute sa famille et qu’il me rapporte leur têtes. Une fois cela fait, je serais très généreux avec toi et ton fils unique *sourire narquois*. Je luis promet même une place à mes cotés.
Marcus : …Mon seigneur, ce…ce n’est que d’honneur pour lui que de vous servir *à le visage sans expression*. Je l’ai fait appeler, dès son retour je lui en informe.
Le roi Noir se tourna alors, faisant tournoyer sa cape de velours. Il regarda Marcus avec satisfaction, fière et trop sur de lui il se régala déjà de sa prochaine victoire. Roméo avait entendu toute la conversation et il le savait depuis le début. Dans un élan de vanité, le roi sortit de la tente en toute hâte.
Roméo : Père ? *regarde en sa direction* Ce que le roi me demande de faire, je ne le peux…
Marcus : Je sais Roméo, mais tu n’as pas le choix ! *lui attrape l’épaule* Vois en notre avenir, une fois ta mission achevée *montre du doigt les contées de Neo Vérone*, Le roi Noir te promet même un futur glorieux…dans sa garde impériale ! *lui tapote l’épaule* Il ne s’agit que du roi de Neo Vérone et de sa fille Juliette.
Roméo : C…Comment !? *…* Je…je ferais ce que veut le Roi…
Sans un regard, sans un adieu à Marcus, Roméo quitta la tente avec la ferme intention de sauver Juliette et son père, il n’avait que faire de son roi au cœur noir, il pouvait même se faire exécuter pour trahison, du moment de Juliette était saine et sauve, à l’abri de tout danger ou rien ne pouvait l’effrayer.
Aussi vite que le vent, Roméo sur sa monture blanche traversa Neo Vérone jusqu’aux portes immense de la ville, déjà attaquer depuis l’aube. Celle-ci sur le point de céder, Roméo tenta alors de grimper aux rosiers poussant depuis des générations sur les murs protecteurs de la ville. Les épines acérées lui rentrèrent dans les mains mais le désir de revoir sa Juliette était plus fort que la douleur. De l’autre côté, la ville semblait morte, n’attendant plus que son sort. Roméo sans perdre de temps se dirigea vers le palais.
Les portes principales cédèrent ! Les Renégats dans un cri de guerre se ruèrent vers l’intérieur s’empressant de mettre tout à feu et à sang. Le combat entre les deux peuples commença alors.
Les flammes s’étendirent assez vite, obligeant Roméo à sauter dans la cours du château, les gardes étant occupés à se battre sur le font ne pouvais plus protéger le palais. Tout était dans la plus profonde obscurité, sauf à un endroit où la lueur d’une bougie vivait encore. Roméo aussi silencieux qu’une ombre entra dans la pièce, une lame se mit alors sous sa gorge. Roméo d’un mouvement brusque retourna la lame vers son agresseur.
Roméo : Juliette !! *lâche la dague*
Juliette : Roméo !! *l’enlace fortement*
Roméo : Viens, suis moi *lui attrape la main et se met à courir* Nous devons absolument partir loin d’ici, de ce continent *cours de plus en plus vite*.
Juliette : Mais Roméo…je ne dois pas abandonner mon peuple *pleure* et mon père qui est sur le front, je dois l’attendre !
Roméo :*ralentit le pas*…Juliette ! Tu sais, nos peuple s’entretue et pour couronner le tout ! *la regarde dans les yeux* Mon roi ma demander de tuer le roi de Neo Vérone et sa fille, je sais que tu es la princesse et je préfère subir milles morts que de te faire le moindre mal, alors fuyons, je t’en supplie mon amour, je connais un monde ou nous pourrions vivre en paix *l’embrasse tendrement*.
Dans les couloire du palais les domestiques couraient dans tout les sens bousculant les deux amants, soudain avec un cri de peur et de tristesse l’une d’entre elle se mis à dire.
Domestique : LE ROI EST MORT !!! Neo Vérone n’est plus, fuyons tous !!!!
Juliette : NONN ! *se met à pleurer à chaude larmes*
Roméo : *la prend dans ses bras* Juliette, JULIETTE ! Je suis près de toi,… je suis la, je te protège, regarde moi ! *lui prend doucement le menton pour diriger le regard de Juliette vers le sien* Je t’aime *lui fais un baise sur le front* Il faut sortir d’ici !
Domestique : Venez ...il y a un passage derrière le trône, je vous l’ouvre *tire une chandelle*
Roméo : Venez vous aussi ! *tend son bras vers la domestique*
Domestique : Non messire, je dois la refermer pour ne pas que l’ennemie vous suive *fait un signe de tête* que la déesse soit avec vous !
La sortie est la ! Quelque mettre et les voila libre, Juliette, tirée par Roméo, regarda horrifier son pays périr sous les flammes, le ciel étais rouge comme le sang et les hurlements d’agonie incestueux. Dans leur malheur la chance leur sourit, un cheval égaré sans son cavalier se dirigea vers eux, sans réfléchir Roméo attrapa son harnais et grimpa avec Juliette sur son dos.
Roméo : O, majestueuse créature, j’ai besoin de toi pour sauver ma bien aimée, pourrais-tu m’aider ?
Le cheval se dressa sur ses deux pattes arrière et poussa un hennissement, Roméo profita de cet instant et poussa celui-ci à galoper, traversant les bois Neo Vérone et au delà, le plus loin possible, jusqu'à ce que le cheval soit a bout de force, Roméo et Juliette aperçurent à l’horizon les terres légendaires de Valakas. Le soleil timidement ouvra lentement son œil protecteur sur la terre colorant ainsi le ciel d’un mélange rosâtre et orangée. Roméo regarda Juliette.
Roméo : Juliette, je t’offre mon cœur, ma vie, ma joie, ma tristesse et mon amour…* s incline devant elle* Juliette veux tu m’épouser ? *lui tend sa chevalière avec le regard timide*
Le vent comme s’il était complice, souffla les cheveux de Juliette révélant ses yeux bordés de larmes. Roméo incliné devant elle, attendait sa réponse, cet alors qu’elle souri.
Juliette : Roméo, mon Roméo…je veux être à toi toute entière *prend la bague et le met à l’annulaire*
Oui ! oui…je serais ravie de t’épouser * tire son bras pour le redresser et l’embrasse avec toute son âme*
Un nouveau monde les attend, un avenir ensemble parsemer d’aventures, et si leur étoile est bonne ils vivront heureux jusqu’à la fin de leur vie et même au delà.
(date demandée : jeudi 30 août à 22 heures, le lieu sera devoilé IG a Adelia, merci)
Mer 29 Aoû - 1:21
